ALPE74140

Brigitte Stanké, du Département d’orthophonie de l’Université du Québec à Trois Rivières, a mené une vaste étude longitudinale auprès de quelque 400 enfants, de la maternelle au CE1, afin d’examiner les facteurs susceptibles d’influencer l’apprentissage du langage écrit. Ses résultats mettent en lumière l’importance de la mémoire à long terme et fournissent des pistes pour améliorer l’enseignement de l’orthographe.

Elle a déterminé que la connaissance de la signification d’un mot facilite le rappel de l’orthographe. "Cette constatation s’avère déterminante pour les enseignants", dit-elle, "car ils ont tout avantage à s’assurer que les enfants connaissent le sens des mots qu’ils doivent apprendre".

La synthèse de l'UQTR